Installée au cœur même du bâtiment principal, cette nouvelle scène de 450 m² incarne une ambition claire : combler le vide entre les petites salles intimistes et les grandes scènes, souvent inaccessibles aux jeunes talents. Ni doublon, ni concurrence, cette salle se veut passeur de relais, véritable tremplin vers la grande scène.
« Ce n’est pas un Zénith bis, mais une passerelle. Une chance pour les artistes de demain de grandir dans des conditions professionnelles, avant, peut-être, de fouler la scène des 9.000 places », souligne l’équipe du Zénith.
Un projet 100 % local, une innovation nationale :
Alors que la plupart des Zéniths en France sont pensés comme de vastes arènes polyvalentes, Dijon innove en ajoutant à son offre une salle secondaire intégrée, accessible directement depuis le parvis. Et si le format est plus intime, les moyens, eux, sont ceux des grands : sonorisation haut de gamme, lumière dernier cri, configuration flexible… Petite jauge, grandes ambitions.
Ce projet ne vient pas concurrencer les scènes dijonnaises comme La Vapeur ou Le Bistrot de la Scène, mais compléter un écosystème culturel en offrant un maillon souvent manquant : un espace adapté aux artistes en pleine ascension, trop petits pour les grandes scènes, mais déjà trop grands pour les cafés-concerts.
Dijon trace une nouvelle voie :
Avec le Zénith Club, Dijon devient la première ville de France à intégrer ce type de salle au sein d’un Zénith. Un choix stratégique, à la fois visionnaire et pragmatique, qui renforce la place de la ville dans le paysage culturel national.
Le message est clair : à Dijon, la culture se vit à toutes les échelles. Et chaque artiste, peu importe son niveau de notoriété, mérite une scène à sa mesure.
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